
Ce que le Google Consent Mode V2 implique !
Ce que le Google Consent Mode V2 implique pour votre site internet !L’évolution rapide du cadre réglementaire en matière de protection des données personnelles, notamment
Mis à jour le 24 juin 2022
À l’ère de la digitalisation, la pollution numérique devient une préoccupation majeure et souvent négligée. C’est dans cette optique que l’agence web Grizzlead, basée à Vannes, vous propose cet article rédigé avec soin. En s’appuyant sur des sources de référence, nous vous offrirons une analyse précise et approfondie de ce phénomène, afin de mieux comprendre ses enjeux et ses conséquences dans notre monde connecté.
Entièrement dématérialisé, le numérique pourrait être une formidable solution aux problèmes écologiques mondiaux. Si seulement. Les communications, transmissions et récoltes d’informations ont beau se passer en ligne, les impacts de la pollution numérique sont, eux, bien réels.
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Nb : Dans la vidéo, une erreur d’interprétation s’est glissée sur le 4ième chiffre. La part du numérique dans la consommation électrique mondiale n’atteindra pas 50% en 2020, mais augmentera de 50% pour atteindre plus de 20%… Nuance !
Ce constat est d’ailleurs assez simple à poser : pour que l’usager puisse communiquer, travailler ou payer en ligne, il a besoin de machines physiques. De l’ordinateur ou smartphone aux serveurs, les installations sont dispersées partout sur Terre engendrant une consommation d’électricité et de matières premières très importante. Importante à quel point ? Le numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde c’est 1.5 fois plus important que le transport aérien ![1]
Comment changer la donne ? Qui doit s’en préoccuper ? Et bien pour que ce soit efficace, tout le monde. Entreprises, internautes, il existe beaucoup d’actions qui vous permettront de réduire votre empreinte sans impacter votre quotidien.
Découvrez dans notre dossier les chiffres de la pollution digitale et les recours que vous avez pour consommer autrement.
Aujourd’hui, tous les experts sont formels : Internet pollue. Quelles sont les conséquences ? Qui pollue le plus ? Quels sont les chiffres ? Décryptage d’un phénomène aussi actuel qu’international.
Quelle industrie est la plus polluante ? Selon des chiffres établis par une étude GreenIT publiée en octobre 2019 , les 34 milliards de smartphones, ordinateurs, consoles de jeux et téléviseurs que compte la planète occupent une place centrale dans l’impact sur l’environnement. Il faut 80 fois plus d’énergie pour produire un gramme de smartphone qu’un gramme de voiture [2].
Mais ce n’est pas leur utilisation qui a le plus de conséquences sur l’environnement, 90% de l’énergie consommée par un smartphone est générée lors de sa fabrication [3]. La construction d’outils informatiques impacte la quantité de ressources naturelles disponible. Ces ressources premières ne se renouvellent pas aussi vite que nous en consommons. Tous les ans, Global Footprint Network calcule en partenariat avec le WWF « le jour du dépassement », c’est-à-dire la date à partir de laquelle nous avons consommé l’ensemble des ressources que la terre est capable de produire en un an. Leur étude montre qu’il faudrait 1.7 Terres pour subvenir aux besoins de l’humanité.[4]
35% des émissions de Gaz à effet de serre du numérique seront dues à la fabrication des terminaux utilisateurs en 2025. L’intensité énergétique de l’industrie numérique augmente en moyenne de 4% par an.
Le secteur numérique demande beaucoup d’énergie pour fonctionner, c’est un grand consommateur de ressources naturelles non renouvelables. Si Internet était un pays, il serait le 3ème consommateur mondial d’électricité après la Chine et les États-Unis [5]. 7 à 10% de l’électricité mondiale serait consommée par Internet seul [6]. Le problème est que les différents acteurs ne sont pas conscients de ce type de pollution et ses sources sont nombreuses.
Le mail est une façon rapide de communiquer de plus en plus démocratisé, mais son utilisation n’est pas sans conséquence pour l’environnement. S’il est accompagné d’une pièce jointe d’1 Mo, un mail émet 19 g de Co2. Cet impact pris individuellement est faible mais quand on sait que 34 millions mails sont envoyés toutes les heures sans compter les spams, les conséquences deviennent importantes [7]. Cela correspondrait à l’équivalent de 14 tonnes de pétrole. Envoyer 12,3 mails par jour pendant un an (4 500 mails) pollue autant que parcourir 100 km en voiture (18kg de CO2 pour 100 km [8]). En effet, un mail consomme en moyenne 4g de CO2 [9]. Si un individu envoie une douzaine de mails par jour pendant un an, il consommera un total de 17,9 kg de CO2.
Le plus étonnant dans tout ça c’est que 75% des emails reçus sont des spams [10]. Cela explique que 80% des mails ne sont jamais ouverts [11]. Les boîtes mails sont saturées et polluées de messages qui ne vous intéressent pas. Un Français recevrait, en moyenne, 936 newsletters par an . Leur envoi et leur stockage consomment énormément d’énergie. Cela représente plus de 9 kg d’émissions de C02 par an. [12]
Il ne faut pas oublier que l’environnement de travail est très gourmand : électricité, machines, impressions… À ces consommations s’ajoute l’impact du trajet domicile-travail en voiture pour les équipes IT qui représentent un impact inévitable.
Une solution que nous pouvons vous proposer afin de remédier à la pollution numérique est d’utiliser un nettoyeur de boite mail pour supprimer vos newsletters inutiles. Nous vous recommandons donc d’utiliser notre partenaire Cleanfox, car il va vous permettre de désencombrer votre boite mail, tout en faisant un geste pour la planète. Avec notre code promo “grizzlead”, vous participez à la plantation d’1m² d’arbre en Tanzanie.
La consommation de vidéos peut sembler être une activité anodine mais elle est très énergivore. Une des raisons principales est le poids des fichiers consultés, plus lourd qu’une simple image beaucoup plus d’énergie est nécessaire pour stocker ce fichier sur des serveurs. Le streaming vidéo correspond à 60% des flux de données sur Internet [13]. Par exemple Pulp Fiction en très haute résolution sur Netflix pèse 200 000 fois plus qu’un mail sans pièce jointe (10 giga-octets contre 50 ko) [14]. 10h de film en haute définition contiennent plus de données que l’intégralité des articles en anglais de Wikipédia. [15]
La consommation mondiale de streaming vidéo émet 300 millions de tonnes de CO₂ dans le monde chaque année [16]. Cela correspond à la pollution numérique d’un pays comme l’Espagne ! Regarder une heure de vidéo consomme autant d’électricité qu’un réfrigérateur pendant une année [17]. Les 2.7 milliards de vues de la vidéo Gangnam Style représentaient la consommation annuelle d’une petite centrale nucléaire [18]. Un utilisateur Youtube émet chaque année environ 117 tonnes de Co2 en visionnant des vidéos [19]. Il pourrait réduire de 323 000 tonnes de Co2 par an sa consommation rien qu’en stoppant la lecture automatique.
Les Data Centers consomment en moyenne en France 5,15 MWh/m2/an. En somme, un Data Center de 10 000 m2 consomme en moyenne autant qu’une ville de 50 000 habitants. Et 40% de cette consommation électrique est utilisée uniquement pour les refroidir. “En moyenne, un data center utilise aujourd’hui en permanence environ 2 kilowatts par mètre carré. Sur 500 m2, c’est 1 MW consommé en continu, soit annuellement l’équivalent de l’énergie électrique utilisée par plus de 1.000 foyers“, précise Ghislain Colom, directeur Data Center Solutions de Cofely Services, filiale du groupe Engie, Source de 2015 : actu-environnement.com [20]. Ces machines néfastes pour la planète sont pourtant essentielles à l’industrie puisqu’elles collectent et rassemblent les données.
Or, dans une société toujours plus axée sur la donnée (90% des données ont été produites entre 2015 et 2017), son accumulation n’est pas près de se calmer. Il faut aussi dire que l’humanité n’a jamais engendré autant de données : tous les 2 jours, la population mondiale produit autant d’information qu’elle n’en a générée depuis l’aube de son existence jusqu’en 2003.
Les objets connectés génèrent à eux seuls 39% des émissions de gaz à effet de serre du domaine du numérique [21]. Ils contribuent également à hauteur de 76% à l’épuisement des ressources naturelles non renouvelables du monde. 94% des Français ont un smartphone [22] mais seuls 6% d’entre eux sont recyclés dans le pays [23]. Ce chiffre tombe à 5% quand on considère les appareils du monde entier [24]. On estime à 110 millions le nombre de portables inutilisés par les Français qui dorment au fond d’un tiroir [25].
La tendance qui se dessine n’est pas très optimiste, la planète comptera 48 milliards d’objets connectés en 2025 avec une empreinte environnementale 3 fois plus importante qu’en 2010.
7 chiffres sur la pollution du numérique
Connaissez-vous l’impact d’une journée à travailler sur votre ordinateur ? Cela correspond à 9 km en voiture ou la consommation énergétique de 80 ampoules [26]. Si ce chiffre vous surprend, vous n’êtes certainement pas une exception puisque 57% des Français n’ont pas conscience de la notion d’“écologie digitale” [27] et seuls 40% d’entre eux ont conscience de l’impact des outils numériques sur l’environnement. [28]
En termes d’utilisation, nous sommes aussi un peu perdus. Le blog GreenIT s’est intéressé à l’impact de notre consommation et ses résultats sont alarmants puisqu’un actif consomme par an :
Il ne faut pas oublier que l’environnement de travail est très gourmand : électricité, machines, impressions… À ces consommations s’ajoute l’impact du trajet domicile-travail en voiture pour les équipes IT qui représentent un impact inévitable.
Vous trouverez ici la comparaison avec les chiffres de 2017.
Combien sommes-nous d’internautes ? Aujourd’hui, plus de 4,95 milliards de personnes dans le monde ont accès à Internet. Un nombre qui pourrait encore augmenter durant les prochaines années et qui se ressentira sur notre empreinte carbone.
Si l’on se base sur la consommation électrique mondiale, 10% de celle-ci est engendrée par le numérique. Guillaume Pitron, journaliste et réalisateur, affirme que cette consommation pourrait atteindre les 20% en 2025.
L’impact écologique d’internet est énorme et certaines entreprises ont pris les devants. Pour autant, tout le monde peut-il s’investir ? Quels sont nos recours ? Ne sont-ils pas trop contraignants ? Il existe plusieurs niveaux de changement. De la simple adaptation au bouleversement, retrouvez tous les conseils des experts pour surfer différemment.
Avant de lister les bénéfices de cette solution, revenons sur le concept de l’edge computing. Dans le fonctionnement actuel des entreprises, toutes les données générées par les machines sont envoyées et traitées dans les Data Centers distants.
Problème : avec l’avènement de l’IoT, les objets connectés créent et envoient toujours plus de données. Au-delà des risques de sécurité, la centralisation des données demande un effort considérable pour les machines. Elle impacte aussi grandement l’empreinte écologique de la structure.
L’edge computing revient à centraliser et traiter les données localement à l’aide de minuscules Data Centers placés à proximité des objets connectés, voire, directement dessus. La donnée n’est plus traitée de manière centrale, mais en périphérie d’où le terme « edge ». Puisque l’edge computing traite la donnée localement, il peut trier les informations et n’envoyer que les éléments importants aux terminaux.
Cette solution est donc plus écologique puisque les données parcourent une distance moins importante et qu’elles n’exigent pas de cycle de refroidissement par l’eau, contrairement aux Data Centers.
Une structure qui souhaite changer à long terme peut se tourner vers une nouvelle discipline, le Green IT. Celle-ci rassemble 8 thématiques : les infrastructures informatiques, les Data Centers, les impressions, la gestion de la fin de vie, les achats, la gouvernance, les postes de travail et les applications.
À ce jour, moins d’un quart des entreprises françaises a intégré le Green IT à sa démarche. Seules 20% des structures intègrent des critères de développement durable au sein de leurs appels d’offres IT et à peine 1/3 éco-conçoivent leurs logiciels.
La start-up française Prophesee commercialise une solution de traitement d’image qui ne nécessite que très peu de données.
La plupart des objets connectés du marché utilisent la vision artificielle. Ces caméras enregistrent des séquences d’images qui seront compilées puis traitées. Les données visuelles sont donc produites en masse puis soit supprimées, soit traitées.
La solution de Prophesee se base sur la vision humaine : plutôt que d’enregistrer chaque image, le cerveau nous transmet uniquement les informations liées aux mouvements. Lorsque ce fonctionnement est appliqué à une caméra, il s’agit d’une vision artificielle. Celle de Prophesee capture et transmet 1 000 fois moins de données qu’une caméra classique.
Puisque la grosse problématique concerne l’entreposage, pourquoi ne pas concevoir de nouvelles manières de stocker ? Des chercheurs de l’École Polytechnique de Zurich ont développé une solution révolutionnaire : utiliser l’ADN synthétique comme stockage.
Les équipes ont jusqu’à présent réussi à stocker la totalité d’un album de Massive Attack sur des brins d’ADN. Le fichier audio a été compressé pour ne peser que 15 Mo puis stocké sur 920 000 brins d’ADN synthétique. Grâce à un encapsulage dans des billes de verre, l’album « ADNisé » devrait rester intact quelques centaines de milliers d’années. Les fondateurs de la start-up DNA script Sylvain Gariel et Thomas Ybert affirment même « On peut stocker toute l’information numérique produite par l’humanité dans un tube à essai ». La solution ne serait-elle pas ici ?
Du côté de l’usager, quelques démarches sont simples à mettre en place sans bouleverser son quotidien ni sa communication digitale. Voici quelques conseils pour vous permettre d’agir à votre échelle contre la pollution numérique.
Pure players, consommateurs, internautes, e-commerces, il est temps de changer ses habitudes. Notre usage est aujourd’hui bien trop gourmand pour nos ressources disponibles et seule une modification de notre mode de vie peut avoir un impact suffisant pour améliorer la situation.
Entreprises, si ces arguments ne suffisent pas à vous convaincre, sachez qu’être eco-friendly est bon pour votre image : 80% des Français seraient plus fidèles à une marque si elle prenait des engagements forts pour lutter contre la pollution numérique.
Par ailleurs, si votre site est éco-conçu, il sera plus léger et apparaîtra plus vite dans les résultats de recherche Google. De multiples bénéfices en perspective !
[2 ][11 ][12 ][14 ][29 ] https://www.greenpeace.fr
[4 ] https://www.wwf.fr
[7 ] https://cleanfox.io
[8 ] https://www.hellocarbo.com
[9 ] https://www.sami.eco
[10 ] https://www.qqf.fr
[13 ] https://www.futura-sciences.com
[15 ] https://alliancegreenit.org
[16 ] https://www.ladn.eu
[17 ] https://www.digitalcorner-wavestone.com
[18 ] https://www.universfreebox.com
[19 ] https://www.archimag.com
[20 ] https://www.actu-environnement.com
[21 ] https://www.businessinsider.fr
[22 ] https://www.celside-magazine.com
[23 ] https://www.pourleco.com
[24 ] https://francecopywriter.fr
[25 ] https://www.ouest-france.fr[26 ] https://apexpme.com
[27 ] https://www.offremedia.com
[28 ] https://www.europe1.fr
Flora Peter, entrepreneure passionnée et experte en digital, a fondé Grizzlead, une agence spécialisée en communication digitale en 2015. Elle intervient également en tant que chargée d'enseignement à l'Université Bretagne Sud, où elle partage son savoir en référencement naturel. Son parcours de plus de 15 ans inclut des rôles clés comme spécialiste SEO, trafic manager et responsable d'acquisition, aussi bien en agence que du côté des annonceurs.
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https://youtu.be/LZo7vQcRreY En appuyant sur le bouton Play de la vidéo vous consentez à l’installation des cookies YouTube. Quels sont les impacts des assistants vocaux sur le
15 réponses
C’est très sympa de m’envoyer ça je ne pensais pas que sa consommé autant de fois d’énergie maintenant je vais faire très attention je vais me modéré
Il y aurait quelques solutions simples à mettre en place notamment par les entreprises du numérique, par exemple :
– pouvoir télécharger en local au format mp3 les vidéos youtube sans avoir besoin d’être abonné(e), ce qui éviterait de visionner plusieurs fois des vidéos pour leur contenu audio (musique, conférences…)
– avertir de l’impact de chaque activité avant de la réaliser (de la même manière que “fumer tue”, “le visionnage de cette video rejette x g de co2 et consomme y litres d’eau”)
– ne pas faire du numérique pour le numérique là où une autre solution rend le même service (téléphone, présentiel…) et toujours prévoir une alternative
– pour permettre la mutualisation des terminaux (1PC par famille), éviter les identifications fondées sur un appareil individuel (numéro de mobile)
-…
Bonsoir,
La pollution générée par le numérique est en effet un problème majeur sur lequel il est possible d’agir de nombreuses manières.
Les développeurs et éditeurs ont selon moi un rôle important à jouer pour réduire la pollution engendrée par les sites internet. L’éco-conception d’un site permet en effet de réduire notablement sa consommation énergétique et par conséquent ses émissions de CO2. Un site léger présente également l’avantage de se charger rapidement, ce qui améliore l’expérience utilisateur.
Il existe de nombreux outils en ligne utilisables pour estimer les émissions de CO2 d’une page internet. https://www.websitecarbon.com/ est facilement compréhensible par le grand public.
Exemple d’une page classée A+ https://www.websitecarbon.com/website/missionfranceguichet-fr/ avec un taux d’émissions plus de 100 fois inférieur à la moyenne.
Bravo ! Très intéressant !
Pour Youtube, ce n’est pas 117 tonnes mais 117 Kg de Co2 !
Cet article est génial! La pollution numérique est un sujet qui me tient à cœur, j’ai moi-même effectué quelques recherches afin de réaliser que l’impact de la pollution est bien plus important que nous le pensons. Je crois que votre suggestion d’utiliser un nettoyeur de boite mail, comme celui de Cleanfox, devrait être maintenant une option obligatoire pour tous les utilisateurs de courriers électroniques. Ce simple ajout pourrait faire une énorme différence au niveau de la pollution numérique du stockage que les courriers électroniques dégagent.
L’article est très intéressant! Je trouve que c’est une problématique extrêmement importante dont on ne parle pas suffisamment à l’heure actuelle.
En tant que futur marketeur, l’impact environnemental du marketing numérique fera partie de ma réalité dans un futur proche alors je commence à m’y intéresser davantage.
Merci pour cet article. Nous défendons également l’idée que les mails internes en entreprise sont beaucoup trop nombreux et non lus et qu’il existe des alternatives à cela.
Bonjour,
Je fais régulièrement du tri dans ma boîte mail et je supprime les spams, indésirables, mails traités à jeter et je bloque certains mails.
Cependant je me demande si ces mails supprimés le sont vraiment ou si ils restent stockés dans des serveurs dédiés? En effet j’ai réussi à récupérer un mail supprimé par erreur un jour…
Quelle est la législation à ce propos ? Et la réalité ? Pouvez-vous nous faire un topo sur les catégories de mails selon qu’ils sont bloqués ou supprimés ?
Merci d’avance et merci pour votre information pertinente. Letty
Merci pour la citation sur un sujet vital !
Bonjour
<>
Ces chiffres ne sont pas de l’Ademe mais issus d’une étude exclusive réalisée et publiée par GreenIT.fr le 12 mai 2015. Cf : https://www.greenit.fr/2015/05/12/quelle-est-l-empreinte-environnementale-du-web/ . Nous sommes d’ailleurs entrain de mettre à jour cette étude. Pouvez-vous, s’il vous plaît, corriger le texte de l’article ?
<>
Le chiffre de 50 % est totalement absurde et choquant. C’est aussi grotesque que de dire que les voitures rouleront toutes à 400 km/h sur l’autoroute en 2030… Par ailleurs, quand bien même l’humanité dédierait 50 % de l’électricité au numérique (ce qui est sociologiquement aberrant), compte tenu de la capacité de production d’électricité et de son développement d’ici 10 ans, c’est physiquement impossible. De nombreuses études sérieuses (RTE, Negawatt, GreenIT.fr, etc.) démontrent que dans un un pays très électrifié comme la France, on arrivera à environ 15 % de la consommation électrique totale. cf : https://www.greenit.fr/2018/02/20/transition-numerique-fera-t-exploser-consommation-denergie/
En espérant faire avancer le sujet…
Bonjour,
Merci pour votre retour et votre vigilance : nous n’avions effectivement pas vu que l’ADEME s’appuyait sur l’étude dont vous êtes à l’origine. Nous corrigeons donc cette source !
Quant aux fameux 50%, nous ne saurions être plus embêtés d’avoir mal interprété “une augmentation de 50%” par “une augmentation à 50%”… Ceci dit, le chiffre aura au moins eu le mérite de faire réagir, même si nous préfèrerions que tout à chacun se sente concerné plutôt qu’un acteur déjà fer de lance du sujet comme Green IT.
Nous vous remercions en tous cas pour votre retour, car oui, cela fait avancer le sujet. La preuve : nous ajustons nos données et vous suivons désormais sur les réseaux pour rester au fait de ce thème majeur.